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Olu Oyinsan lance un fonds de capital-risque de 10 millions de dollars pour les entreprises en phase de démarrage au Nigeria

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Olu Oyinsan, entrepreneur en série et ancien vice-président d'Ingressive Capital, a lancé un fonds de capital-risque, Oui Capital, destiné à financer des entreprises en phase de démarrage à forte croissance au Nigeria.

Le fonds de capital-risque, créé en partenariat avec Francesco Andreoli, ancien ingénieur logiciel chez IBM et Techstars, vise également à offrir des services de mentorat de la part d'experts de la technologie et de l'industrie aux entreprises de son portefeuille.

Oui Capital est un fonds de capital-risque de 10 millions de dollars qui cible les jeunes pousses technologiques, non seulement au Nigeria, mais aussi dans d'autres pays africains comme le Kenya et l'Afrique du Sud. La société s'engagera dans le financement de pré-séries A d'entreprises dans les domaines de la Fintech, de la mobilité, des soins de santé innovants, de l'éducation et des marchés bifaces.

Le fonds a également été créé pour remédier au déséquilibre entre les startups technologiques à forte croissance en Afrique subsaharienne et le financement dont elles ont besoin pour tirer parti des opportunités qui s'offrent à elles.

Associé gérant et directeur de Oui Capital, Olu Oyinsan était jusqu'à récemment vice-président d'Ingressive Capital, où il a été l'un des premiers à investir. Ingressive Capital est un fonds de capital-risque soutenu par la Silicon Valley qui a réalisé des investissements précoces dans plusieurs start-ups africaines telles que Paystack, Wifi.com.ng, Ogavenue, Awabike, etc.

L'associé fondateur, Francesco Andreoli, est un ancien ingénieur logiciel chez les géants de la technologie, IBM, et un mentor de Techstars. On peut donc dire que Oui Capital est fondé par des partenaires ayant une grande expérience dans la création d'entreprises technologiques évolutives.

"Avec Oui Capital, nous mettrons des fonds à la disposition des startups technologiques en phase de démarrage sur le continent", explique M. Oyinsan. "L'Afrique est en train de subir une transformation largement motivée par la technologie - semblable au boom asiatique d'il y a dix ans qui a créé plus de 200 licornes à ce jour.  Il est pertinent que des entreprises comme Oui Capital soient disponibles pour financer cette transformation afin de créer de la richesse et de l'impact."

Il a également noté que "nous sommes principalement intéressés par les entreprises qui résolvent des problèmes réels avec des solutions évolutives, des entreprises technologiques qui résolvent les problèmes quotidiens des 1,2 milliard d'habitants de l'Afrique. Nos investissements à un stade très précoce soutiennent les startups ayant un potentiel de croissance et d'impact significatif."

Oui Capital peut s'enorgueillir de compter dans son conseil consultatif un groupe impressionnant et très expérimenté de professionnels du secteur. Il s'agit de Shyam Kamadoli, associé directeur du fonds blockchain AVG ; Gbenga Oyebode, associé directeur Aluko & Oyebode et membre du conseil d'administration de MTN et Access Bank PLC, ainsi qu'une foule d'autres personnes.

S'exprimant sur l'objectif du fonds, l'associé fondateur, Francesco Andreoli, a expliqué que l'entreprise vise à fournir des solutions à deux défis majeurs auxquels sont confrontés les entrepreneurs africains.

"En discutant avec plus de 100 entrepreneurs technologiques sur le continent, nous avons réalisé que l'accès au financement de démarrage n'est que l'un des principaux obstacles à la mise en place d'un projet d'envergure", explique-t-il. "Ce fonds combine les solutions aux deux défis les plus pressants des entrepreneurs africains aujourd'hui - l'accès au financement et le manque de mentors/conseillers de qualité.

"Outre le financement, Oui Capital a créé un pool de mentors dans le monde entier qui sont des experts en la matière dans des domaines critiques pour les jeunes entreprises et qui font également office de conseillers disponibles pour les entreprises de son portefeuille sans frais supplémentaires. On ne saurait trop insister sur l'importance de cette démarche pour une startup, en particulier en Afrique. Notre objectif est d'aider les entrepreneurs par tous les moyens possibles à accroître leur impact. Ceci est en ligne avec le slogan de l'entreprise... "dire oui, un entrepreneur à la fois".

Le lancement de cette nouvelle entreprise va dans le sens de l'amélioration de la viabilité, de l'évolutivité et de la productivité des startups technologiques africaines. Il souligne le fait qu'avec des ressources et des financements adéquats, les startups de la région peuvent devenir compétitives au niveau mondial.

Si vous êtes intéressé par le fonds Oui capital, cliquez ici pour postuler.

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